Articles concours 2014

Agrégation externe

 I.1 Le théâtre tragique au Siècle d’Or

 

– LABARRE Roland, « Horreur et compassion », n°363, p. 7-15.

 

I.1.1 Cristóbal de Virués, La gran Semíramis

– FERRER VALLS Teresa, « La gran Semíramis de Virués : clés pour la lecture d’une tragédie “à l’espagnole” », n° 363, p. 33-48.

 

I.1.2 Lope de Vega, El castigo sin venganza

– TORRES Milagros, « Lope, “puesto ya el pie en el estribo”, les gestes de la tragédie (El castigo sin venganza. Notes pour une mise en scène) », n° 363, p. 17-32.

– TROPÉ Hélène, « La première biographie de Lope de Vega, exorde de la Fama póstuma de Juan Pérez de Montalbán (1636) », n° 358, p. 19-41.

 

 

I.2 Pouvoir de la violence et violence du pouvoir

 

I.2.1 Mario Vargas Llosa, Lituma en los Andes

– GLADIEU Marie-Madeleine, « Lituma en los Andes : l’absurde d’un monde en quête de mythes », n°363, p. 63-77.

 

I.2.2 Yuri Herrera, Los trabajos del reino

– JANQUART-THIBAULT, « Du mythe d’Inkarri au roi des narcos : la royauté comme métaphore du pouvoir corrompu dans Abril rojode Santiago Roncagliolo et Trabajos del reino de Yuri Herrera », n° 363, p. 79-91.

 

I.2.3 Santiago Roncagliolo, Abril rojo

– JANQUART-THIBAULT, « Du mythe d’Inkarri au roi des narcos : la royauté comme métaphore du pouvoir corrompu dans Abril rojode Santiago Roncagliolo et Trabajos del reino de Yuri Herrera », n° 363, p. 79-91.

 

 

II.1 Madrid, du franquisme à la fin du XX^e siècle : enjeux urbanistiques, socio-culturels et politiques d’une ville en mutation. Visions cinématographiques des années 1950 aux années 2000.

– HEITZ Françoise, « De Surcos (Nieves Conde, 1951) à Barrio (Fernando León de Aranoa, 1998), Madrid : la ville en déshérence et le puzzle spatio-temporel »,

– BESSIÈRE Bernard, « De Mayrit et de la Villa y Corte au Madrid de l’après-franquisme : un parcours éclectique ? »,

 

 

II.2 Les Indiens face à la construction de l’État-nation. Mexique-Argentine, 1810-1917.

– RODRIGUEZ Miguel, « Les Indiens face à la construction de l’État-nation. Mexique-Argentine, 1810-1917 »,

– GOMEZ Thomas, « Le lent cheminement vers l’Indépendance : des mouvements précurseurs à la prise conscience (nationale ?) et la recherche de modèles », n° 351, p. 73-89.

– BLASCO Nathalie, « Créer les nations, imaginer l’unité continentale, et affronter l’instabilité dans l’Amérique Latine indépendante », n° 351, p. 91-107.

 

Agrégation interne

I Sergio Pitol, El desfile del amor. 

 

– BENMILOUD Karim, « Configurations œdipiennes dans El desfile del amor de Sergio Pitol », n° 363, p. 93-108.

 

II Cinéma militant et guérilla en Argentine (1966-1976).

– MANZI Joaquín, « Rouge profond presque noir. Raymundo Gleyzer et le Cine de la base », n°363, p. 109-124.

 

III María Zambrano, La tumba de Antígona (y otros textos sobre el personaje trágico)

– ALLAIGRE Annick, « La tumba de Antígona (y otros textos sobre el personaje trágico) »,  

 

IV Madrid, de 1939 à la veille de l’essor économique : enjeux urbanistiques, socioculturels et politiques d’une ville en mutation. Visions cinématographiques des années 1950

– HEITZ Françoise, « De Surcos (Nieves Conde, 1951) à Barrio (Fernando León de Aranoa, 1998), Madrid : la ville en déshérence et le puzzle spatio-temporel »,

– BESSIÈRE Bernard, « De Mayrit et de la Villa y Corte au Madrid de l’après-franquisme : un parcours éclectique ? »,

 

Capes externe

 

I Sur Gabriel García Márquez,

– LEPAGE Caroline, « Cien años de soledad de la première à la dernière page : l’incipit et l’excipit de la Bible de l’Amérique latine », n° 347, p. 69‑82.

– SALAZAR Ina, « Quelques considérations autour de l’inénarrable solitude », n° 347, p. 83-100.

– PRIOUL Françoise, « Cien años de soledad : le personnage comme empreinte fondatrice d’une écriture », n° 347, p. 101-121.

– GÓMEZ-VIDAL Elvire, « Cien años de soledad : la dialectique de l’écriture et de la lecture », n° 347, p. 123-143.

 

II Octavio Paz, El laberinto de la soledad

– GIRAUD Paul-Henri, « “Un pasado enterrado pero vivo” : origines et prolongements du labyrinthe de la solitude dans l’œuvre d’Octavio Paz », n° 363, p. 49-62.

 

III Manuel Vázquez Montalbán, Crónica sentimental de la Transición

– DÍAZ Elvire, « La transition espagnole (1975-1985) : retour sur un modèle », n°359, p. 83-101.

– LIKANEN Elina, « Mémoires du conflit, mémoires en conflit : représentations de la guerre civile et du franquisme dans le roman espagnol actuel », n°354, p. 45-65.

– ORINI-SAILLET Catherine, « Regards sur la Transition dans le roman espagnol actuel : La caída de Madrid de Rafael Chirbes etRomanticismo de Manuel Longares », n° 354, p. 65-88.

– GUYARD Émilie : « ¡Otra maldita novela negra ! : le boom du polar espagnol, n°354, p. 89-109.

– ORIOL-BARCELO Andrée, « Le périple de la déconvenue : “Definitivamente nada quedó de Abril” de Manuel Vázquez Montalbán », n° 346, p. 33-42.

 

CINÉMA

– AMIOT Julie, « Aspects du cinéma mexicain au milieu de xx^e siècle »

– GIRAUD Paul-Henri, «  La photographie mexicaine au milieu du XX^e  siècle »